Le G.C.P (Guidon Cyclosportif Pyrénéen) est un club de vélo de Pau et ses environs. Affilié UFOLEP, il regroupe tout amateur cyclosportif. Si vous aussi vous voulez rouler dans un esprit d’équipe et de convivialité... Contactez nous: gcpyreneen@gmail.com
GCP
samedi 25 juillet 2009
La Pierre-Jacques en Barétous (par Jean-Marie B)
Direction le départ, je suis le 3eme à me présenter. Cela me donne l'opportunité d'écouter les échanges des différentes expériences des uns et des autres. Visiblement il y en a qui ne font que ça, la Marmotte, l'EDT...Bref, un coup d'oeil sur leurs vélos et sur leurs cannes affûtées suffit à me convaincre que certains sont là pour la gagne...Perso, je me dis que je suis déjà fier d'être là (bien que n'ayant aucun mérite) et qu'il va falloir relever le gant.
Départ neutralisé d'Aramits à Arette, j'ai déja amorcé mon compteur au départ d'Aramits...Ca part fort, mais bon cela permet de faire tourner les jambes et ainsi de s'échauffer comme il se doit.
Arette, aprés le chant basque en honneur de Pierre Jacques Tillous, Départ on libère les monstres. On roule à 35, 37kmh sur les premiers faux-plats approchant le premier col, le Soudet. Je m'accroche au peloton, en me maintenant au seuil. Dés les premières rampes du col, je décide de relâcher la pression, chacun pour soi dorénavant. Bien sûr je me fais dépasser par des caravanes de cyclistes bariolés, néanmoins cela ne m'atteind pas, concentré sur mon sujet car la course va être longue. D'autant plus que je n'ai jamais roulé sur un tel parcours auparavant, seul la première boucle éffectuée en vélo deux semaines au paravant. Je reste donc prudent.
A mi-pente, le flux s'inverse, je commence à remonter des places. Au détour d'un lacet, je reconnais le "Géant d'Arette", un cyclo, ancienne gloire du cycliste régional il y a quarante ans! Il fait parti de la patrouille cyclo, une petite tape en passant, un mot d'encouragement et de félicitation suite à sa perf à l'ETD 2009. Je le passe et ne le reverrai malheureusement plus.
A la lumière des classements j' apprends qu'il s' est arrêté à la première boucle, et qu'il finit 2éme de sa catégorie. Premier col gravi, premier et dernier arrêt ravito. Remplissage de gourde, enfilage du coupe-vent (il fait frais!). A propos, il serait bon de prévoir des antibrouillards sur les vélos.Descente rapide , je rejoins un petit group e, on reste ensemble et ça relaie plutôt bien. Tardets, Montory à 35 kmh en moyenne. On avale la côte de Montory, à bon rhythme, le groupe explose et seul deux d'entre nous survivent. Je poursuis mon effort avec mon compagnon. J'apprends, qu'il s'arrête au premier parcours (il fait parti du club VTTOBéarn, le détail a son importance...).
Passage en 2h48 à la première boucle, grande satisfaction personnelle, puisque en solo, j'étais passé en 3h10.Malgré une pensée nauséabonde de s'arrêter là, je continue. En avant pour l'Issaux, parcours initialement prévu !Je rallie Arette en attendant le groupe dérrière moi, qui avait explosé dans la côte de Montory. Hasard, ils s'arrêttent tous au ravito avant la côte de Giroune. Conformément à mon plan de marche, plus d'arrêt ravito jusqu'à l'arrivée sauf incident technique. Je continue seul, je me sens bien et apercois un cycliste dans la côte , je décide alors d'essayer de le reprendre avant la descente. Objectif réussi. Malheureusement il est cuit et me sera d'aucune utilité dans l'approche sur Lourdios. C' est pas grave, je suis bien et je gère mon effort, un petit peu en dedans afin de préserver des forces pour le col de Labays qui est particulièrement difficile car toujours trés irrégulier...
J' attaque Labays seul, à la faveur d'un ravito, je dépasse encore une poignée de cyclos. En cours d'ascension, je rattrappe quelques cyclos encore. A noter que personne ne m'a dépasser depuis la mi-pente du Soudet. Cela me gonfle un peu plus le moral.Malheureusement, c' est dans les 4 derniers kilomètres du col que je vais connaitre un petit coup de moins bien, un à un 5 à 6 cyclos me repassent. Je gère tant bien que mal, je me traine à 7/8 kmh alors que la pente est entre 7 et 8%...Certainement le manque d'entrainement sur cette longueur et cette difficulté. Mais bon je bascule au sommet, et reprend les éléments qui m'avaient passer préalablement à la faveur du ravito.
Dans la descente je rattrappe les dossards 281 et 282. On rentrera ensemble à Aramits à plus de 40kmh.Arrivé en 5h29 à mon compteur mais avec départ d'Aramits. Donc vraisemblablement moins au temps officiel.Je suis obligé de quitter les lieux précipitament peu aprés mon arrivée. Je n'ai pas mon classement et mon temps officiel...Pas grave.Hier soir, sur le site de la Pierre Jacques, les classements 2009 sont en ligne (dans la rubrique infos...).
O stupeur, mon nom ainsi que mon dossard ne figurent pas, sur aucun parcours ! Je suis vert ! Première cyclo, un incident ? Un soupçon de tricherie? Un pointage raté? Une erreur informatique ? Bingo ! Aprés avoir contacté l'organisateur, une erreur informatique s'est produite et je ne serai pas le seul lésé dans l'affaire (à priori une dizaine...). Tout devrait alors rentrA 9 dans l'ordre dans les jours prochains avec réception des brevets et correction des temps. Pour info, temps des 281 et 282, 5h22, par conséquent je devrais être crédité du même temps puisqu'arrivés tous trois ensemble...Voilà, désolé pour cette lecture rébarbative mais c'est aussi pour moi une forme de justification, histoire de me dire que je n'ai pas rêvé!A bientôt au sein du club,
vendredi 17 juillet 2009
Soulor Aubisque par Olivier B.


vendredi 10 juillet 2009
sortie gardoise
jeudi 9 juillet 2009
Extraterrestre cycliste
mardi 7 juillet 2009
Sortie au Mont Lozère
dimanche 5 juillet 2009
La Hubert Arbes 2009 (Par Olivier L)

La Hubert Arbes vue de derrière !!
Le départ de Pau se fait sous la bruine. Le temps s'éclaircit quelque peu au fur et à mesure de notre progression vers Lourdes.
Sur place, nous trouvons assez facilement à nous garer à proximité de la salle des fêtes, lieu du départ. Nous retrouvons alors Olivier et Pascal déjà sur place depuis un petit moment.
Chacun s'affaire à ses préparatifs. Pour ce qui est d'être bien placé au départ, c'est raté pour Alain, Ben, Gwen et moi puisque nous devons être à 70 - 80 bons mètres des premiers !!
Le départ fictif est donné et ça part...vite. Il faut faire attention, les coups de frein sont nombreux et la route archi-mouillée ! A la sortie de Lourdes, nous sommes arrêtés en attendant l'heure du départ réel.
Les fauves sont lâchés ! Ça part tout de suite. Je prends la roue de Gwen, lui-même dans celle de Ben. Je ne sais pas où sont les autres. Lors d'un changement de direction de Ben, un coureur me serre et m'empêche de prendre sa roue. Je ne reverrais plus personne du G.C.P. Bien que roulant à 45-48 km/h, je ne réussirais pas à revenir sur eux. Je calme donc le jeu afin d'arriver frais à Loucrup d'abord, puis au pied du Tourmalet.
Je fais la montée de Loucrup à mon rythme et me fais doubler par pas mal de gars. J'accélère en haut pour reprendre la roue d'un petit groupe avant la deuxième partie de la côte. Dans la descente vers Trébons, je redouble pas mal de cyclos qui descendent sur les freins en raison de la route mouillée.
J'essaie alors de revenir sur un groupe à une 30aine de mètres devant moi, en vain. Je lève donc le pied afin d'attendre un nouveau groupe pour aller sur Ste Marie de Campan. Là, je m'engage direct dans le Tourmalet sans m'arrêter à la fontaine puisque je n'ai encore pratiquement rien bu. Les premiers kilomètres jusqu'à Gripp en pente douce me font mal ! Je ne parviens pas à trouver un braquet qui me convienne, les jambes ne sont pas bonnes. Cela ne laisse rien présager de bon pour la suite...
Arrive alors le 1er "vrai" kilomètre à 9.5%. Et là, surprise ! Je passe le 30 x 23, et j'ai des jambes, je monte à 8,5 - 9km/h. Je vais poursuivre ainsi jusqu'à la sortie de la Mongie, à ma grande surprise. Je m'octroie une rapide pose à moins de 4km du sommet pour manger (ce que je ne sais pas faire en roulant) et boire. Je repars : panneau des 3km, tout va bien. Et soudain...baisse de régime. Fringale ? Fatigue ? Un peu des deux ? En tout cas, c'est 3 km vont me sembler aussi long que tout ce que j'ai déjà monté jusqu'à la Mongie. Le Géant me fait connaitre l'enfer, le dernier km est interminable. Enfin le ravitaillement ! Je m'arrête quelques minutes, le temps de boire un peu de Coca et de manger quelques quartiers d'orange.
Je repars alors pour mon deuxième calvaire de la journée.
Je reprends plusieurs gars dans la descente que j'avale à bon train, malgré la chaussée bien déformée par endroit.
A l'entrée de Luz St Sauveur, crevaison. Alors que j'avais ralenti à plusieurs reprises dans la descente pour proposer mon aide à ceux qui avaient creuvé, là, personne ne me propose quoi que ce soit et tout le monde passe vitesse grand V...
Je répare et repars aussi vite que possible. Les gorges de Luz sont balayées par un énorme vent qui fait très mal aux jambes lorsqu'on est seul. Sur un faux-plat montant, je repasse du 50 au 39. Je ne pourrais plus revenir sur la plaque jusqu'à l'arrivée...
En bas des gorges de Luz, à droite direction Préchac, Lugagnan et Lourdes. Une fille me demande de m'arrêter alors que je vois 2 mecs au loin. Aucun des 2 n'a voulu s'arrêter pour l'aider à réparer sa crevaison !! J'hallucine ! Le premier a mis 3h pour faire les 100 bornes, il y a une bonne heure et demie qu'il est douché et au chaud et 2 cons refusent de s'arrêter !
J'aide donc cette Rochelaise à réparer et nous repartons. Mon dérailleur avant continue de refuser la montée de mon grand plateau et fait un bruit d'enfer à cause du frottement de la chaîne.
Quelques km plus loin, en haut de la côte de Préchac, nous reprenons un des 2 mecs qui a refusé de s'arrêter auparavant et qui refuse également que le médecin de course l'arrête définitivement malgré son état d'épuisement avancé.
Un peu plus loin, on reprend son compère aussi sympa qui par contre, ne va pas se gêner pour nous sucer les roues, jusqu'à un coup de cul avant Lugagnan où je le fais sauter.
Malheureusement pour moi, la galère continue. Nouvelle crevaison ! J'essaie de regonfler en espérant que ce soit une crevaison lente qui me permette de rejoindre l'arrivée, alors à 5km. Rien n'y fait, je dois changer à nouveau de chambre à air.
Re-démontage. Je sors un caillou de ma bande de roulement qui a complètement traversé la carcasse de mon pneu. Et un Pro3 Race mort, un ! A peine 800 km !
Bref, j'ai les boules, je repars pour enfin en terminer derrière un groupe de la 167 km qui roule comme des avions.
Ce n'était pas exactement le déroulement de la journée dont je rêvais mais j'ai passé le Tourmalet !! Au final, la montée en 2h11.
Le diplôme remis à l'arrivée me donne un temps de 5h32 pour une moyenne de 17,64 km/h. Mon compteur, qui a lui tenu compte de mes divers arrêts crevaisons me donne 105 km en 5h15 pour une moyenne de 19,84 km/h.
Hubert Arbes (par BEN)
Réveil à 5h45 du matin...temps gris, couvert, mélange de pluie et de bruine bref l'idéal pour faire une sortie et un col !
Nous partons à 2 voitures : Arnaud et Alain, Gwen et moi.
Direction Lourdes, pas d'amélioration en vue. Montage des vélos à proximité du départ, on retrouve Olivier et Pascal pour nous remettre nos dossards.
Au moment de se rendre sur la ligne on se rend compte avec Arnaud, Gwen et Alain que tout le monde est déjà en place, on se retrouve alors au fond du fond. Même Olivier et Pascal sont bien mieux placés que nous. Encore un coup du rital…
Départ fictif de donné : je prend la roue du seul pro présent histoire de faire chauffer les jambes et de remonter quelques places. Au moment du départ réel on se retrouve ainsi plus au coeur du paquet.
Départ réel est donné toujours sous la pluie. Je reste dans la roue de mon "poisson pilote" de chez Besson Soja Sun et conseille à Gwen de garder cette roue. Il en sera ainsi pour moi jusqu'au pied de la première côte de Loucrup. Ceci m'aura permis au moins une fois dans la journée de doubler Pascal.... Au pied de la côte, je mets volontairement le cligno à droite pour la passer à mon rythme. Gwen lui s'est pris au jeu et continue sur sa lancée.
Je passe Loucrup "tranquille" comme je l'avais prévu sur le 39x24 sans me faire mal.
Descente périlleuse sous la pluie et je fournis un effort pendant quelques Km afin de prendre un groupe. Objectif, ne pas se retrouver seul entre Montgaillard et St Marie de Campan. Objectif réalisé !
Je vais garder ce groupe jusqu'à Campan ou là, je décide à nouveau de monter à mon rythme sans me soucier des autres car ça a beau déjà monter, on est pas encore au pied du Tourmalet...
St Marie de campan, là on y est. Les premiers Kms jusqu'à Gripp se font bien car des replats permettent de récupérer. Le temps est toujours au brouillard et à la grisaille, pas de visibilité.
On ne voit pas plus loin que 100 mètres devant dans les meilleurs des cas.
A la sortie de Gripp là, on ne récupère plus. Je m'étonne durant les Kms suivant à rester sur mon 39x27 et à me trouver plutôt bien. Ceci ne m'empêche pas pour autant de me faire doubler en permanence...
Alors qu'il reste 8km jusqu’au sommet, je décide de passer sur le 30x21 (erreur je pense). Je garde mon rythme, commence à être un peu moins à l'aise et, je me fais toujours doubler...
Approche de La Mongie, les paravalanches, les plus forts pourcentages et le panneau qui tue : 1 km à 10,5% de moyenne....
Traversée de La Mongie, pas un seul moment de répit. Mentalement je me dis que une fois passé la Mongie, le plus dur est fait. Si sur le papier c'est bien le cas, dans ma tête et mes jambes là c'est le début de la galère.
Les 3 derniers Kms sont un long chemin de croix, se font au mental comme je peux...
J'espère à chaque panneau voir un "petit" 7%, même 7,5% de moyenne, que nenni toujours du 9% !
J'essaie tant bien que mal de me mettre en danseuse de temps en temps mais là, mes amies les crampes viennent me chatouiller les cuisses...
Arrivée au sommet, usé physiquement et moralement en 1h45.
Ravitaillement pendant 10 bonnes minutes : coca, coca et coca...
Je me lance dans la descente toujours dans le brouillard, les premiers lacets se font à l'aveugle...Heureusement le reste se fera sur route sèche et avec le soleil.
Cette descente sera la seule occasion pour moi de reprendre quelques places....
Sortie de Luz St Sauveur : je me retrouve seul avec mes crampes. La descente n'a fait qu'empirer les choses, je me demande comment je vais pouvoir pédaler jusqu'à Lourdes ?
Je reprends 2 compagnons de fortune et roule avec eux. Les cuisses font mal. Le fait d'être le plus "costaud" de nous 3 me réconforte un peu. On se relaye jusqu'au dernier coup de cul de Préchacq.
Là un groupe nous reprend au plus mauvais moment pour moi, juste au pied de la bosse.
Je me fais mal à la gueu... pour rester accroché et garder les roues. Nous nous retrouvons une petite dizaine de coureur pour finir ensembles jusqu'à Lourdes.
Au passage de la ligne la conclusion est : dur, très dur, je me suis vraiment fais mal aux tripes. La luis Ocaña à côté, c’est du gâteau…
2 jours après j'ai l'impression que mes jambes sont passées sous une voiture...
Hubert Arbes (par Gwen)
Arrivés et enfin prêts, Alain, Arnaud, Ben et moi nous engageons à la ligne de départ. Enfin, en queue de peloton…
Le départ fictif donné, Ben surprend un coureur de l’équipe continental « Besson Chaussures-Sojasun » C’est Romain Mathéou.
Ben me dit « viens ! c’est lui qu’il faut suivre ».
Je saute alors sur la roue de Ben.
Et ca ne manque pas ; on remonte une bonne partie des participants. Avant le départ réel, on est presque remonté sur Pascal.
Avant Loucrup, on continue à suivre Romain Mathéou. Mais ca va vite, de plus en plus vite.
Et je me prends au jeu…. et dire que je voulais la faire « rando ».
Me voilà donc lancé, piqué au vif par ces tourneurs de manivelles.
Je monte Loucrup souple, et je me retrouve en compagnie de mon Italien préféré.
Mais après la descente, on se retrouve tous les 2 isolés, comme 2…
J’essaye de faire la jonction sur un groupe devant, mais je me fatigue et je me résous à nous faire rattraper par un autre wagon. Ils nous emmèneront à bon rythme jusqu’à St Marie de Campan.
Dans le début de l’ascension, je remonte régulièrement des participants: je me dis que j’ai un bon rythme. Mais je ne connais pas le Tourmalet, cette part d’inconnu puise un peu sur le mental. A la traversée de la Mongie, je commence à guetter les kms restants. Chaque pancarte est un soulagement de courte durée : le temps de lire le nombre de km restants et le %moyen !! (Mon Dieu Ca m'éneeeeerve!!) Mon moral commence à s’essouffler, et ma moyenne chute de 11 km/h à 10 puis 9 pour finir à 8 sur le dernier km.
Finalement, montée en 1h28. J’suis content pour une première fois !
Le ravitaillement est le bienvenue, et j’attends Olivier qui ne devrait pas tarder.
Dans la descente, pas la peine d’attendre Olivier... Et pourtant, il a du faire un stage ! Car, surprise, seulement 6 coureurs nous séparent en bas du col.
Pour le reste, mon 52 dents avait des fourmis (c’est qu’il n’a pas beaucoup servi depuis le départ). Après tout c’était mon objectif initial : montée du col calme, et les derniers kms vers Lourdes comme un gars de la plaine.
Mais Ben avait raison ; en bas du Tourmalet on remonte plus personne (sauf une ou 2 personnes isolées)
On s’est tout de même bien amusé avec un espagnol, un mec de Thèze et quelques autres…une bonne impression de se faire péter les varices.
Olivier a même lancé un contre à l’arrivée de Lourdes, mais en remontant sur lui « j’crois qu’on est encore loin » ; Bref, après une série de rond points, on est arrivé en groupe.
Avec le recul d’une bonne nuit réparatrice, je me dis que c’était bien sympa.
La Hubert Arbes 2009 (167/100 km - Haute Montagne)
Bulletin d'inscription ici.
Fiche Technique | |
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Inscription | 25€ |
Lieu | Lourdes (65) |
Parcours | 167 / 100 km |
Dénivelé | (Col du Tourmalet, Col du Soulor) |
Album Photo | ici |
Résultats | La Hubert Arbes / La Petita |
Presses | La Depeche |
Classement / Résultats de la Petita (100 km)
1. SAVE Jérôme 3h02'11
2. LOUPY Laurent 3h03'35
3. ABELLA Jean Michel 3h03'35
4. DUBAU Thierry 3h03'38
5. MARMOUGET Claude 3h07'01
6. VERDONCKT Benjamin 3h07'02
7. HAUMIER Gabriel 3h07'03
8. CUQ Jérôme 3h07'27
9. DEPIERREFINE Florent 3h08'12
10. MONDON Thomas 3h08'12
...
153. LATTE Olivier 3h53'56
...
155. PLANTEFEVE Gwenael 3h53'59
...
184. VALES Alain 4h00'34
...
197. LORY Pascal 4h04'43
...
260. LACAZE Benjamin 4h22'38
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384. HANRY Arnaud 5h32'35
...
391. GENEVOIS Éric 6h37'10
Classement / Résultats 2009 Hubert Arbes (167 km)
1. AMBLARD Nicolas 5h12'55
2. TORRES François 5h13'12
3. URIZAR OTAMENDI Patxi 5h13'15
4. BERARD Patrick 5h14'20
5. VALCARCEL JAMONETE Felix 5h14'21
6. OCHOA Enaut 5h16'20
7. GOUDIN J. Marc 5h18'03
8. URIZAR LUIS Mari 5h18'03
9. LABADENS Cédric 5h23'40
10. VIGNE Alain 5h23'58
...
326. CHAIGNEAU Nicolas 8h20'49